Désormais nous allons
étudier le chemin que le rire prend dans notre corps.
Celui est très complexe, nous savons que, celui qui le déclenche est le stimulus, par la suite de nombreuses réactions interviennent et ont des répercussions dans tout l'organisme.
Cela débute en premier dans les zones du cerveau (hémisphère droit et gauche), puis se propage dans tout le corps. Nous nous intéresserons a la partie musculaire que le rire favorise.
Celui est très complexe, nous savons que, celui qui le déclenche est le stimulus, par la suite de nombreuses réactions interviennent et ont des répercussions dans tout l'organisme.
Cela débute en premier dans les zones du cerveau (hémisphère droit et gauche), puis se propage dans tout le corps. Nous nous intéresserons a la partie musculaire que le rire favorise.
1)
Qu'est ce qu'un muscle ?
Pour comprendre le mieux possible cette
expression qui ce manifeste lors du rire, il faut expliquer le fonctionnement
des différents muscles. Les différents mécanismes qui se déroule en profondeur reflètent
les expressions de la peau que l'on peut observer ce sont les muscles situés sous la couche du fascia
superficiel, membrane fibreuse enfouie profondément sous la peau, qui sont
capables d’exprimer par le visage ce large panel d’émotions (rire, pleur,
déception…). En effet les muscles mis en jeu diffèrent suivant les émotions.
C'est le cerveau qui en est à l'origine des nombreux mouvements qu'ont les
muscles. Par les nerfs le cerveau arrive à transmettre un message électrique
aux muscles impliques.
Alors ces derniers se contractent ils sont donc plus large, plus court et plus dur. Ceux ci restent contractes jusqu'à ce que le cerveau leur demande d’arrêter.
Alors ces derniers se contractent ils sont donc plus large, plus court et plus dur. Ceux ci restent contractes jusqu'à ce que le cerveau leur demande d’arrêter.
2)
Différentes
parties et muscles du visage
- Les muscles de la partie postérieure ou crânienne :
Ce sont les muscles qui sont responsables de l’ouverture du visage par étirement.
Le muscle frontal (du cuir chevelu): il est constitué de fines couches musculaires recouvrant la voûte crânienne. De plus, il est formé en deux parties : une partie antérieure appelée ventre frontal, de forme quadrilatère qui recouvre l’os frontal, et une partie postérieure nommée ventre occipital, qui repose sur l’os occipital (os participant à la formation du crâne). Cependant elle est plus fine et ses fibres sont moins longues (environ quatre centimètres) que la portion frontale. Ces deux différentes parties frontale et occipitale sont réunies entre elles par un fin tendon appelé aponévrose épicrânienne. Ainsi, son action consiste-t-elle à mobiliser le cuir chevelu. Le muscle frontal consiste à relever les sourcils et déplacer le cuir chevelu vers l’arrière alors que le muscle occipital met en mouvement le cuir chevelu vers l’arrière.
Ce sont les muscles qui sont responsables de l’ouverture du visage par étirement.
Le muscle frontal (du cuir chevelu): il est constitué de fines couches musculaires recouvrant la voûte crânienne. De plus, il est formé en deux parties : une partie antérieure appelée ventre frontal, de forme quadrilatère qui recouvre l’os frontal, et une partie postérieure nommée ventre occipital, qui repose sur l’os occipital (os participant à la formation du crâne). Cependant elle est plus fine et ses fibres sont moins longues (environ quatre centimètres) que la portion frontale. Ces deux différentes parties frontale et occipitale sont réunies entre elles par un fin tendon appelé aponévrose épicrânienne. Ainsi, son action consiste-t-elle à mobiliser le cuir chevelu. Le muscle frontal consiste à relever les sourcils et déplacer le cuir chevelu vers l’arrière alors que le muscle occipital met en mouvement le cuir chevelu vers l’arrière.
- Les muscles de la moitié supérieure du visage :
Ce sont les muscles responsables du mouvement des sourcils ou du plissement du front lorsque l’on est contrarié. Ils entrent en jeu dans l’expression du rire, notamment ceux situés autour de l’oculaire. Le muscle orbiculaire des paupières est large et fin. Ils se constituent de fines fibres musculaires, et entourent l’orifice palpébral (fente de séparation entre les paupières inférieures et supérieures) sur la paupière et l’orbite. Ce muscle s’étend de la couche profonde du front jusqu’à la face intérieure de la joue et de la crête nasale. Il décrit une forme circulaire, et peut être divisé en deux parties. Une partie palpébrale qui est une couche fine et pâle. Elle forme une série de couches concentriques au niveau de la face externe de la paupière, et sert ainsi à fermer les paupières (clignement des yeux ou lors du sommeil). Puis, une partie orbitaire épaisse et rouge dont les fibres forment un cercle allongé. Lors du rire, ces muscles interviennent, ils permettent le plissement des yeux et le relèvement des paupières supérieures
Ce sont les muscles responsables du mouvement des sourcils ou du plissement du front lorsque l’on est contrarié. Ils entrent en jeu dans l’expression du rire, notamment ceux situés autour de l’oculaire. Le muscle orbiculaire des paupières est large et fin. Ils se constituent de fines fibres musculaires, et entourent l’orifice palpébral (fente de séparation entre les paupières inférieures et supérieures) sur la paupière et l’orbite. Ce muscle s’étend de la couche profonde du front jusqu’à la face intérieure de la joue et de la crête nasale. Il décrit une forme circulaire, et peut être divisé en deux parties. Une partie palpébrale qui est une couche fine et pâle. Elle forme une série de couches concentriques au niveau de la face externe de la paupière, et sert ainsi à fermer les paupières (clignement des yeux ou lors du sommeil). Puis, une partie orbitaire épaisse et rouge dont les fibres forment un cercle allongé. Lors du rire, ces muscles interviennent, ils permettent le plissement des yeux et le relèvement des paupières supérieures
- Les muscles de la partie inférieure du visage :
Ce sont les muscles situés autour de la bouche, les muscles masséters par exemple. Ils sont les plus importants lors du rire Le muscle risorius est un assemblage de fines fibres musculaires très étroites. Il part au dessus du muscle masséter pour s’insérer horizontalement sous la peau aux coins des lèvres. Il tire en effet l’angle de la bouche vers le coté. Il attire en dehors et en arrière la commissure des lèvres (vers l'oreille). Certaines personnes n’ont pas ce muscle, d’autre sont marqués fortement alors que certains n’en ont que d’un côté.
3) Musculature participant au rire
En riant, les muscles de la nuque se
contractent et se relâchent rapidement de même pour ceux de l’épaule tels que
les trapèzes, le rire provoque alors des sursauts des épaules ainsi que
basculement de la tête. De plus, Les muscles intercostaux soulèvent de thorax
et ainsi provoquent une profonde inspiration. Le trajet du rire dans
l’organisme se poursuit par des courtes contractions des muscles accessoires de
la respiration (grand droit et grand oblique de l’abdomen) et du diaphragme,
Les abdominaux se contractent et massent ainsi le ventre, permettant ainsi une
meilleure digestion.
Enfin, à force de rire, c’est toute la
musculature des membres de l’organisme qui a tendance à se détendre. Sous le
relâchement des membres, le rieur éprouve le besoin de s’assoir, et peut même
éprouver le besoin d’uriner.
4) Action des muscles sur l'organisme
Les muscles opèrent une action importante dans
l'expression du rire. En effet c'est la contraction des muscles du larynx qui
provoque le son détonateur. Les muscles intercostaux soulèvent de thorax et
ainsi provoquent une profonde inspiration. Le trajet du rire dans l’organisme
se poursuit par des courtes contractions des muscles accessoires de la
respiration (grand droit et grand oblique de l’abdomen) et du diaphragme, la
cage thoracique est alors entièrement mobilisée pour expulser l’air des
poumons.
Parallèlement à ces effets décrits sur la musculature
s’ajoute sous diverses modifications physiologiques, en particulier dans la
sollicitation de la musculature involontaire: le rythme cardiaque s’élève puis
diminue.
La respiration est intimement liée à la contraction
des muscles. En effet, la contraction des muscles intercostaux met en mouvement
la cage thoracique, et accroît ainsi les fonctions respiratoires.
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